Judo
Judo Québec innove
La fédération québécoise de judo fait son entrée sur Youtube et sur Facebook.
Elle y lance une campagne de promotion. Judo Québec souhaite entres autres attirer de nouveaux membres et le tout est fait avec humour.
« On est bombardés tous les jours de publicité de n'importe quelle compagnie par Internet, et on s'est dit pourquoi pas nous? », a pensé Patrick Esabarbès, le directeur général de Judo Québec.
Le principe est simple. La publicité d'une trentaine de secondes a été mise en ligne sur YouTube et sur Facebook, deux sites gratuits qui rejoignent des centaines de milliers de personnes par jour. En tapant Judo Québec comme mots clés, on tombe directement sur le vidéo.
« On est dans le phénomène du marketing viral, on ne se le cachera pas, c'est un virus qu'on va envoyer à tout le monde, mais c'est un virus qu'on aime », explique M. Esabarbès.
Les spécialistes en nouvelles technologies Hervé Fischer et Bruno Guglielminetti lèvent leur chapeau à Judo Québec pour avoir eu l'idée.
« Sur 10, je donnerais un sept ou un huit, oui, parce que c'est une publicité amusante que j'ai revue deux fois, trois fois avec plaisir... Il n'y en a pas beaucoup dont je pourrais dire ça », a mentionné M. Fischer
« Il y a des gens qui vont probablement tomber par hasard là-dessus, qui vont se le faire envoyer par courriel, en disant hey va voir ça, il y a quelque chose d'amusant. Ce n'est pas une grande campagne publicitaire, mais ç'a le mérite d'avoir été fait et probablement que ça va donner des idées à bien des gens », croit M. Guglielminetti.
C'est en utilisant l'humour et en mettant à contribution ses 10 000 membres que la fédération pense attirer les gens.
« Se servir du réseau que nos membres ont. Il y a des jeunes qui ont environ 500 amis, alors on espère qu'ils vont l'envoyer et faire suivre la publicité à plusieurs de leurs amis », conclut le DG de Judo Québec.
Plus d'une centaine de personnes ont visionné le clip en moins de douze heures. La prochaine capsule sera diffusée dans trois mois.
(D'après un reportage de Jacinthe Taillon)
Judo Québec innove
La fédération québécoise de judo fait son entrée sur Youtube et sur Facebook.
Elle y lance une campagne de promotion. Judo Québec souhaite entres autres attirer de nouveaux membres et le tout est fait avec humour.
« On est bombardés tous les jours de publicité de n'importe quelle compagnie par Internet, et on s'est dit pourquoi pas nous? », a pensé Patrick Esabarbès, le directeur général de Judo Québec.
Le principe est simple. La publicité d'une trentaine de secondes a été mise en ligne sur YouTube et sur Facebook, deux sites gratuits qui rejoignent des centaines de milliers de personnes par jour. En tapant Judo Québec comme mots clés, on tombe directement sur le vidéo.
« On est dans le phénomène du marketing viral, on ne se le cachera pas, c'est un virus qu'on va envoyer à tout le monde, mais c'est un virus qu'on aime », explique M. Esabarbès.
Les spécialistes en nouvelles technologies Hervé Fischer et Bruno Guglielminetti lèvent leur chapeau à Judo Québec pour avoir eu l'idée.
« Sur 10, je donnerais un sept ou un huit, oui, parce que c'est une publicité amusante que j'ai revue deux fois, trois fois avec plaisir... Il n'y en a pas beaucoup dont je pourrais dire ça », a mentionné M. Fischer
« Il y a des gens qui vont probablement tomber par hasard là-dessus, qui vont se le faire envoyer par courriel, en disant hey va voir ça, il y a quelque chose d'amusant. Ce n'est pas une grande campagne publicitaire, mais ç'a le mérite d'avoir été fait et probablement que ça va donner des idées à bien des gens », croit M. Guglielminetti.
C'est en utilisant l'humour et en mettant à contribution ses 10 000 membres que la fédération pense attirer les gens.
« Se servir du réseau que nos membres ont. Il y a des jeunes qui ont environ 500 amis, alors on espère qu'ils vont l'envoyer et faire suivre la publicité à plusieurs de leurs amis », conclut le DG de Judo Québec.
Plus d'une centaine de personnes ont visionné le clip en moins de douze heures. La prochaine capsule sera diffusée dans trois mois.
(D'après un reportage de Jacinthe Taillon)
FONTE (photo include): Radio-Canada - Montréal,Québec,Canada
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