La revue de poésie Carquois, qui en est à sa septième année de publication, convie la population à la soirée de lancement de son numéro de novembre à la Maison amérindienne de Mont-Saint-Hilaire le 16 novembre à 20 h.
Les poètes de Carquois recevront le poète et essayiste François Charron et ensemble ils livreront leurs meilleurs textes. C'est une occasion pour tous d'entendre la poésie riche et variée de différents auteurs et de rencontrer l'auteur François Charron. Chez François Charron, l'homme rejoint le poète à travers une écriture dépouillée et sans compromis, une poésie émouvante et profonde sur des sujets qui concernent tout le monde.
Afin de bien débuter cette soirée de novembre, un repas à saveur amérindienne sera servi au coût de 20 $ (plus taxes et service), dès 18 h 30. Il faut réserver au 450.464.2500. Le récital de poésie débutera à 20 h et l'entrée est libre. En deuxième partie, les spectateurs pourront lire leurs textes. Tous sont les bienvenus.
Carquois est un organisme à but non lucratif qui compte parmi ses abonnés une cinquantaine d'auteurs de tous les niveaux qui contribuent régulièrement à sa revue de poésie. La plupart de ces auteurs proviennent de la Montérégie, de la Haute Yamaska et du Centre du Québec et un certain nombre d'un peu partout au Québec et d'Europe. Carquois publie cinq recueils par année et organise des soirées de poésie où les poètes professionnels et amateurs peuvent réciter leurs œuvres devant public. Ces rencontres se déroulent dans diverses municipalités. Renseignements : carquois@hotmail.com.
Poète et essayiste, François Charron a publié dans diverses revues francophones, notamment au Québec, en France et en Belgique. Il est l'auteur d'une trentaine d'œuvres et a été membre du comité de rédaction des revues Stratégie (1971-1974) et Chronique (1976-1977). En 2007, il se mérite le Prix de poésie Alain-Grandbois de l'Académie québécoise des lettres, pour son recueil Ce qui nous abandonne. Précédemment, il a été récipiendaire du Prix Émile-Nelligan en 1979 pour son recueil Blessures, du Prix Canada-Belgique en 1982 pour l'ensemble de son oeuvre, du Grand Prix du Festival international de la Poésie 1990 pour son recueil La beauté des visages ne pèse pas sur la terre et du Grand Prix de poésie du Journal de Montréal pour L'Intraduisible amour en 1992. FONTE: L'Oeil Régional - Beloeil,Québec,Canada
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